18 octobre 2012 - 2 hechvan 5773
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ETUDE
 
  Le Grand Rabbin d’Israël à Créteil  
 

C’est dans une ambiance d’émotion et de grande ferveur que la communauté juive de Créteil a eu l’honneur d’accueillir, dimanche matin, le Richon letsion, Rav Moshé Amar pour l’office de Chaharit.
M. Joël Mergui, Président du Consistoire, ainsi que le Rav Ariel Messas, accompagnaient le Rav Amar lors de cette visite qui se faisait dans le cadre de l’hommage rendu au Grand Rabbin de Paris, le Rav Messas Zatsal, à l’occasion des onze mois.

 
 

Successivement, le président de la communauté de Créteil, M. Albert Elharrar, M. Joël Mergui, et le rabbin Senior, ont pris la parole.
Le Grand Rabbin d’Israël a été particulièrement impressionné par la présence de l’ensemble des rabbanim et des responsables communautaires de la ville, ainsi qu’une foule très nombreuse de fidèles venus honorer le Rav Amar et écouter son message. Dans un cours magistral évoquant l’accomplissement proche des temps messianiques, il a exhorté les fidèles à s’investir dans l’étude de la Torah et a conclu avec une bénédiction émouvante pour la communauté.Un grand brunch a suivi dans une ambiance extrêmement conviviale.

 
 
 
 
SOCIETE
 
 

Le Consistoire exprime son opposition au mariage homosexuel :
A
nalyse du Grand Rabbin de France

 
 

Dans le cadre des consultations sur le projet de loi sur" le mariage pour tous" menées par les Ministres Mmes Christiane Taubira et Dominique Bertinotti, le Grand Rabbin de France, M. Gilles Bernheim, et le Président du Consistoire, M. Joël Mergui, avaient déjà eu l'occasion d'exprimer directement leur opposition à l'extension du mariage aux homosexuels.
Lors du Conseil du Consistoire Central du 11 septembre 2012, le Grand Rabbin de France avait annoncé la publication prochaine d'une analyse sur le sujet.

 
 

Rendu publique ce jour et téléchargeable ci-après, ce document a été précédemment adressé au Président de la République, au Premier Ministre ainsi qu'aux membres du Gouvernement.

 
   
 
 
 
   
   
 
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LES CONVERSIONS
 
 
 
 
 
 

Depuis la nuit des temps, le judaïsme a connu des candidats à la conversion. Le Consistoire perpétue cette tradition millénaire de conversion.

Que signifie se convertir ?
Se convertir au judaïsme, c’est décider de vivre selon les principes de foi d’Israël et selon les commandements de la Torah. Par cette conversion, le nouveau venu exprime sa volonté d’intégrer la vocation spirituelle du peuple juif, à savoir appartenir à «une royauté de prêtres et une nation vouée à
la sainteté.»

Depuis quand cette possibilité existe-t-elle ?
La conversion n’est pas un phénomène nouveau. En fait, Abraham fut le premier converti, puisqu’il découvrit D.ieu de son propre chef alors que son père était idolâtre. Non seulement Abraham adhéra au monothéisme, mais il convertit de nombreuses personnes dans sa ville de ‘Haran : « Les âmes qu’ils avaient faites à ‘Haran ». Rachi commente : « Abraham convertissait les hommes, et Sarah les femmes » (Gn XII, 5). Dans la Bible, deux personnages sont présentés en exemple de conversion, Yitro le beau-père de Moïse, ancien prêtre de Madian, qui déclara, après la sortie d’Egypte : « Maintenant je sais que l’Éternel est plus grand que toutes les divinités. » (Ex. XVIII, 11). Et Ruth, du pays de Moab, qui prononça cette belle formule : « Ton peuple sera mon peuple, ton D.ieu sera mon Dieu. » (Ruth I, 16).
Une communauté qui se ferme aux autres est une communauté vouée à l’extinction. Chaque année des demandes venues de toute la France, arrivent au Consistoire de Paris, et nous mettons tout en oeuvre pour recevoir et guider les postulants dans leur quête. La réussite du candidat, c’est aussi la réussite du service.
Les demandes sont multiples et variées. Certaines proviennent d’enfants issus de mariage mixte (exogamique), d’autres du conjoint ou de la conjointe non juif, d’autres encore de personnes n’ayant aucune ascendance juive reconnue. Chaque situation est traitée avec attention.

Qui peut se convertir ?
Il ne suffit pas de vouloir devenir juif pour le pouvoir. C’est l’engagement de toute une vie. Aussi, il est clairement exprimé au postulant, qu’une conversion est l’acceptation du joug de la royauté divine (ol malkhout chamayim), du joug de la Torah (ol Torah) et du joug des mitsvot (ol mitsvot).
Dans le cas où la requête émane de la famille (mère non juive et enfants), les enfants de moins 13 ans sont inclus dans la démarche parentale et passeront un examen niveau Talmud Torah, les plus grands devront faire une demande indépendante.

Que demande-t-on à un candidat à la conversion ?
Pour se convertir, le candidat doit montrer son intérêt pour le judaïsme au travers de diverses obligations :
- Le respect de la cacherout
- Le respect du Chabbat et du Yom Tov
- La fréquentation régulière d’une communauté (offices à la synagogue, cours, conférences, repas chabbatiques, ...)
- Savoir lire l’hébreu
- La connaissance des bénédictions de base.

 
     
 
 
 
 

Combien de dossiers ont été ouverts par le service des Conversions depuis le 1er janvier 2012 ?

(Réponse dans la prochaine newsletter)

 
     
 

Question du 17 octobre : Savez-vous combien de certificats de judaïsme et de certificats de célibat ont été établis par le service du Statut Personnel, depuis le 1er janvier 2012 ?
Réponse : 946 certificats de judaïsme et 334 certificats de célibat

 
     
 
 
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